Background

Zoom sur les diagnostics obligatoires

Vous vendez ou louez votre bien immobilier ? Activ'Expertise vous guide ! Le tableau des diagnostics immobiliers vous indique ceux à réaliser avant une vente ou une location et leur durée de validité.

Guide diagnostic immobilier
Demander un devisEn savoir plus

En savoir plus sur les diagnostics immobiliers obligatoires

Vous voulez tout savoir sur les diagnostics immobiliers obligatoires ?

Background

Les étapes d'un diagnostic

Un processus simple et efficace pour votre tranquillité

Devis gratuit

Estimation personnalisée de votre diagnostic

Validation

Acceptation du devis et prise de rendez-vous

Intervention

Visite et diagnostic sur place

Rapports

Envoi des rapports détaillés sous 24h/48h

Service Après Diag

Accompagnement et suivi personnalisé

3 raisons de choisir
Logo Activ'Expertise blanc

Transparence

TRANSPARENCE

Des rapports clairs et illustrés et surtout conformes à la législation en vigueur

Réactivité

RÉACTIVITÉ

Des interventions rapides pour répondre à des demandes urgentes et des rapports sous 48h

Satisfaction client

SERVICE APRÈS DIAG'

Accompagnement des propriétaires vendeurs et acquéreurs avec des réponses à leurs questions après la transaction et mise à jour de l'ERP offerte

Avis de nos clients

Découvrez ce que nos clients satisfaits disent de nos services de diagnostic immobilier.

Xaled C.

Tout s'est bien passé, acceuil, réactivité et professionnalisme, je recommande vivement

Henri

Bonjour, grande réactivité de Sarah sur le rdv des audits et préconisations adaptées. Un grand merci

Véronique

Bon travail

Activ'Expertise Ermont Eaubonne

5.0
(236 avis)
Voir tous les avis clients

Nos dernières actualités

Découvrez notre blog et nos derniers articles sur les diagnostics immobiliers, la réglementation et les conseils pratiques.

À LA UNE
Le permis de louer en Ile-de-France : sécuriser la location et lutter contre l’habitat indigne
Publié le 24 Octobre 2025

Le permis de louer en Ile-de-France : sécuriser la location et lutter contre l’habitat indigne

Le permis de louer est un dispositif réglementaire instauré pour contrôler la qualité des logements proposés à la location et pour lutter contre l’habitat insalubre. Depuis la loi ALUR, de plus en plus de collectivités locales d’Ile-de-France ont adopté ce système, imposant aux propriétaires de certaines communes d’obtenir une autorisation préalable avant de louer leur bien.Pourquoi ce dispositif ?En Ile-de-France, la pression immobilière et la diversité du parc locatif exposent certains ménages à des logements indécents ou dangereux. Pour garantir des conditions de vie dignes, le permis de louer permet aux collectivités de s’assurer, avant toute mise en location, que les logements respectent les normes de sécurité, de salubrité et de décence.Comment fonctionne le permis de louer ?Le propriétaire doit effectuer une demande d’autorisation auprès de la mairie avant de pouvoir louer son logement. Une visite de contrôle peut être organisée pour vérifier la conformité du bien. En cas de non-respect des obligations ou d’absence d’autorisation, des amendes importantes (jusqu’à 15 000 €) peuvent être infligées. Ce dispositif incite donc les bailleurs à entretenir et rénover leurs logements si nécessaire.Quels avantages pour les locataires ?Sécurité renforcée : seuls les logements décents peuvent être proposés à la location.Lutte contre les marchands de sommeil : les situations d’habitat indigne sont détectées et corrigées plus facilement.Valorisation du parc locatif : la qualité du logement locatif s’améliore sur l’ensemble du territoire.Communes concernées par le permis de louer en Ile-de-FranceSEINE-ET-MARNE (77)Brou-sur-Chantereine, Bussy-Saint-Georges, Carnetin, Champs-sur-Marne, Chelles, Collégien, Coulommiers, Courtry, Dammarie-les-Lys, Dammartin-en-Goële, Dampmart, Ferrières-en-Brie, Ferté-Gaucher, Gouvernes, Jablines, Jouy-sur-Morin, Lagny-sur-Marne, Lesches, Lognes, Meaux, Melun, Mitry-Mory, Montereau-Fault-Yonne, Montévrain, Nangis, Nanteuil-lès-Meaux, Nemours, Noisiel, Pomponne, Pontault-Combault, Provins, Rochette, Roissy-en-Brie, Saint-Fargeau-Ponthierry, Saint-Thibault-des-Vignes, Thorigny-sur-Marne, Torcy, Trilport, Vaires-sur-Marne, VilleparisisYVELINES (78)Carrières-sous-Poissy, Limay, Mantes-la-Jolie, Meulan-en-Yvelines, Mureaux, Port-Marly, TrappesESSONNE (91)Arpajon, Athis-Mons, Brétigny-sur-Orge, Corbeil-Essonnes, Étampes, Évry-Courcouronnes, Fleury-Mérogis, Grigny, Mennecy, Morangis, Paray-Vieille-Poste, Plessis-Pâté, Ris-Orangis, Sainte-Geneviève-des-Bois, Saint-Michel-sur-Orge, Soisy-sur-École, Villiers-sur-Orge, Viry-ChâtillonHAUTS-DE-SEINE (92)Antony, Asnières-sur-Seine, Bagneux, Châtenay-Malabry, Châtillon, Clamart, Clichy, Colombes, Fontenay-aux-Roses, Gennevilliers, Malakoff, Montrouge, Puteaux, Sceaux, Villeneuve-la-GarenneSEINE-SAINT-DENIS (93)Aubervilliers, Aulnay-sous-Bois, Bagnolet, Blanc-Mesnil, Bobigny, Bondy, Bourget, Clichy-sous-Bois, La Courneuve, Drancy, Dugny, Épinay-sur-Seine, Île-Saint-Denis, Montfermeil, Pantin, Pavillons-sous-Bois, Pierrefitte-sur-Seine, Pré-Saint-Gervais, Saint-Denis, Saint-Ouen-sur-Seine, Sevran, Stains, Villemomble, VilletaneuseVAL-DE-MARNE (94)Ablon-sur-Seine, Alfortville, Bonneuil-sur-Marne, Champigny-sur-Marne, Créteil, Gentilly, Kremlin-Bicêtre, Nogent-sur-Marne, Villejuif, Villiers-sur-Marne, Vitry-sur-SeineVAL-D’OISE (95)Andilly, Argenteuil, Arnouville, Beauchamp, Beaumont-sur-Oise, Bessancourt, Cergy, Cormeilles-en-Parisis, Eaubonne, Écouen, Ermont, Fosses, Franconville, Frépillon, La Frette-sur-Seine, Garges-lès-Gonesse, Gonesse, Goussainville, Groslay, Herblay-sur-Seine, Louvres, Marly-la-Ville, Mesnil-Aubry, Montigny-lès-Cormeilles, Montmagny, Osny, Persan, Pierrelaye, Plessis-Bouchard, Pontoise, Saint-Gratien, Saint-Leu-la-Forêt, Saint-Ouen-l’Aumône, Sannois, Sarcelles, Survilliers, Taverny, Thillay, Villiers-le-BelPour toute démarche de location sur ces communes, renseignez-vous auprès de votre mairie pour connaître la procédure du permis de louer !

Réforme énergétique 2026 : quelles conséquences pour votre bien immobilier
Publié le 24 Septembre 2025

Réforme énergétique 2026 : quelles conséquences pour votre bien immobilier

Une nouvelle méthode d’évaluation dès 2026À compter du début de l’année 2026, la façon dont la performance énergétique des logements est calculée en France va évoluer. L’une des mesures phares consiste à réviser le coefficient d’énergie primaire (CEP) utilisé pour l’électricité. Ce coefficient, qui permet de convertir l’énergie utilisée en énergie primaire, passera de 2,3 à 1,9. Cette modification devrait entraîner une amélioration automatique de la classe énergétique pour de nombreux logements, notamment ceux chauffés à l’électricité.Des impacts positifs pour de nombreux propriétairesPrès de 850 000 habitations pourraient sortir des catégories F et G, celles souvent qualifiées de “passoires énergétiques”.Certains biens, en particulier les petites surfaces, gagneront une à deux classes sur leur étiquette énergie.La valeur de revente ou de location des logements bénéficiant d’un mode de chauffage électrique pourrait être revalorisée.Un outil pour anticiper la nouvelle classificationPour aider les propriétaires à mieux se préparer à ces changements, il existe désormais des simulateurs simples d’utilisation, tel celui proposé par Activ’Expertise. Avec ce service en ligne, vous pouvez rapidement estimer la nouvelle étiquette énergétique qui sera attribuée à votre bien en 2026. L’outil indique également si votre logement restera ou non considéré comme énergivore selon la future réglementation, ce qui facilite la planification de la vente ou de la mise en location selon ces nouveaux critères.Pourquoi il est judicieux d’anticiper ces évolutionsLa législation interdit progressivement la location des logements classés F et G. Revoir la performance énergétique de votre bien peut donc avoir un impact important sur vos projets immobiliers. Prendre les devants, c’est se donner l’assurance de pouvoir vendre ou louer dans de meilleures conditions, ou encore optimiser les travaux de rénovation le cas échéant.En utilisant un simulateur adapté à la réforme, vous obtenez une première évaluation claire, appuyée sur les nouvelles règles. Cela peut également contribuer à valoriser votre bien sur le marché, qui accorde un intérêt croissant à l’efficacité énergétique.L’accompagnement d’experts pour vos démarchesAu-delà de l’évaluation en ligne, vous pouvez faire appel à des diagnostiqueurs spécialisés pour mettre en conformité vos diagnostics, recevoir des conseils personnalisés et optimiser la valeur de votre logement. Un accompagnement professionnel s’avère précieux pour tirer pleinement profit de cette réforme et répondre efficacement aux futures obligations.Un tournant majeur pour le secteur immobilierLa réforme énergétique de 2026 marque un changement significatif pour les propriétaires, en particulier pour ceux qui possèdent des logements chauffés à l’électricité. Grâce aux outils de simulation et à l’aide d’experts certifiés, il est possible d’anticiper ces évolutions et de préparer sereinement ses projets de vente, de location ou d’amélioration des performances énergétiques.

DPE et décorrélation du terrain : analyse des impacts concrets pour les propriétaires
Publié le 06 Août 2025

DPE et décorrélation du terrain : analyse des impacts concrets pour les propriétaires

Un changement méthodologique aux conséquences immédiatesLe calcul du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) connaîtra une évolution importante à l’horizon 2026. En effet, le coefficient utilisé pour convertir l’électricité en énergie primaire sera abaissé de 2,3 à 1,9 à partir du 1er janvier 2026. Cette décision, qui vise à mieux coller aux recommandations de l’Union européenne et à refléter l’évolution du mix électrique français, s’inscrit dans la continuité d’une précédente modification opérée en 2020, alors que la part des énergies renouvelables progresse dans l’Hexagone.Des répercussions concrètes sur le parc immobilierSi ce changement peut paraître purement technique, il engendre des transformations significatives pour les propriétaires et le secteur immobilier :Les habitations chauffées à l’électricité verront leur performance DPE rehaussée, sans qu’aucune rénovation ni amélioration effective n’ait été réalisée.Environ 850 000 logements perdront leur qualificatif de « passoires thermiques » du seul fait de ce nouvel outil de calcul, sans modification tangible de leur consommation.Ce nouvel équilibre pourrait encourager une focalisation excessive sur l’électricité, au détriment de solutions innovantes et hybrides comme les pompes à chaleur mixtes, les chaudières alimentées par des énergies renouvelables ou les installations sur réseaux de chaleur.La lecture du DPE risque de s’éloigner de la réalité des dépenses énergétiques des foyers, puisque les factures d’énergie – basées sur l’énergie finale réellement consommée – ne suivront pas nécessairement l’évolution du classement DPE.Pour les propriétaires souhaitant louer, la nouvelle classification pourrait réduire l’incitation à entreprendre des travaux de rénovation, ce qui pourrait ralentir la dynamique d’amélioration énergétique observée ces dernières années.Un secteur professionnel en demande de stabilitéDe nombreux acteurs du bâtiment et de la rénovation expriment leur préoccupation face à cette modification prochaine. Pour les artisans comme pour les entreprises engagées dans la transition énergétique, ces ajustements fréquents nuisent à la clarté et à la confiance des particuliers, des investisseurs et des professionnels.Du côté des organisations représentatives telles que la CAPEB, la crainte est que ces changements stratégiques mettent à mal les efforts réalisés pour rénover le parc immobilier de manière globale et performante, et affaiblissent les repères des ménages. Cette évolution est même perçue comme un obstacle à la stratégie de décarbonation soutenue par les pouvoirs publics dans la Stratégie nationale bas carbone.L’enjeu d’une politique de rénovation juste et cohérenteIl est fondamental que les dispositifs comme le DPE offrent une lecture transparente, fiable et compréhensible, aussi bien pour les propriétaires que pour l’ensemble de la filière. Toute modification doit s’inscrire dans une approche réfléchie et concertée afin de maintenir l’équité, la stabilité et la confiance nécessaires à la transition énergétique.L’objectif partagé reste de poursuivre l’amélioration du parc immobilier avec exigence, pédagogie et engagement, en restant attentif aux conséquences concrètes des évolutions réglementaires et en protégeant l’intérêt des usagers comme des professionnels du secteur.

Loi Carrez et loi Boutin comment sécuriser votre vente ou location
Publié le 15 Juillet 2025

Loi Carrez et loi Boutin comment sécuriser votre vente ou location

Comprendre les différences entre loi Carrez et loi BoutinLorsque l’on souhaite vendre ou louer un bien immobilier, il est essentiel de se conformer à certaines obligations légales en matière de mesurage de surface. Deux dispositifs principaux encadrent ces démarches : la loi Carrez et la loi Boutin. Chacune répond à des exigences spécifiques et s’adresse à des situations différentes, que vous soyez vendeur ou bailleur.La loi Boutin : protéger les locataires grâce au mesurageEntrée en vigueur en 2009, la loi Boutin vise à améliorer la transparence lors de la location d’un logement. Son rôle est de garantir au futur locataire une information claire quant à la surface habitable du bien, qui doit impérativement être indiquée dans le contrat de location.La surface habitable, selon cette réglementation, comprend toutes les pièces utilisées quotidiennement telles que le séjour, les chambres, la cuisine ou la salle de bain. Sont également prises en compte les combles aménagés. En revanche, caves, vérandas, balcons et espaces non aménagés ne figurent pas dans ce calcul.Pièces prises en compte : séjour, chambres, cuisines, salles de bain, combles aménagésEspaces exclus : murs, cloisons, caves, sous-sols, vérandas, balcons, terrassesPour être conforme à la loi Boutin, un logement mis en location doit comporter au minimum une pièce principale de 9 m² au sol et d’une hauteur sous plafond de 2,20 m, ou bien offrir un volume de 20 m³ minimum.La loi Carrez : la référence pour la vente en copropriétéLa loi Carrez, instaurée en 1996, concerne principalement la vente de biens situés dans une copropriété. Elle vise à assurer à l’acheteur une connaissance précise de la surface privative, qui doit figurer dans l’acte de vente.Ce mesurage s’effectue en prenant en compte toute zone fermée d’une hauteur sous plafond d’au moins 1,80 mètre. Cela inclut certains greniers, remises ou combles, même non aménagés, ainsi que les vérandas privatives.Espaces inclus : pièces principales, vérandas, greniers, remises, combles non aménagés avec 1,80 m de hauteurEspaces non pris en compte : balcons, terrasses, loggias, jardinsSeuls les biens en copropriété sont visés par la loi Carrez. Lorsqu’un vendeur mentionne une surface erronée, l’acheteur peut exiger une diminution du prix en cas de surface réelle inférieure.Comment sécuriser votre transaction ?Pour éviter toute erreur pouvant entraîner des litiges, il est recommandé de faire appel à un diagnostiqueur immobilier. Ce professionnel dispose du savoir-faire et des outils nécessaires pour mesurer précisément la surface de votre logement, que ce soit dans le cadre d’une vente ou d’une location.Assurez-vous de fournir un mesurage fiableRenseignez-vous sur la réglementation applicable à votre situationFaites établir les diagnostics par un expert qualifiéEn respectant ces démarches, vous garantissez la conformité de votre dossier et la sécurité de votre projet immobilier, que ce soit pour vendre ou louer dans les meilleures conditions.